Nous sommes arrivés en escale à Doha vers midi. Sur les conseils d’une hôtesse d’accueil de l’aéroport nous partons passer l’après-midi au Souq Wagif. Première erreur, due à notre méconnaissance des us et coutumes de ce pays, Elsa se voit refuser la place à l’avant du taxi. Le contraste avec la Malaisie est assez saisissant. Doha semble être la ville parfaite, un patchwork impeccable où rien ne dépasse. Trottoirs, rues, bâtiments sont étincelants, propres et tellement neufs. Au loin, derrière la mer, après ce qu’ils appellent la presqu’île, le quartier des affaires et ses buildings allongés aux formes futuristes. La vielle ville, aux couleurs de sable, est à peine visible depuis le front de mer.
Au Souk Wagif, les gamins s’émerveillent devant Charlie Chaplin pendant que d’autres applaudissent les animaux du cirque. Des hommes vêtus de blanc et portant le ghahfeyah défilent, comme dans un musée, accompagnés de femmes voilées, vêtues d’une abbaya, longue tenue noire à manche longue. Assis sur une terrasse, en train de déguster un tajine, voilà que passent devant nous deux dromadaires, peut être ceux du cirque…
Dans les allées étroites du souk les vendeurs nous accostent pour nous attirer dans leur échoppe. Nous ne sommes pas les seuls, visiblement, tous les touristes en transit à Doha sont envoyés ici. L’endroit n’a rien d’authentique, il n’est qu’une version revisitée d’un souk traditionnel. La plupart des objets vendus sur le marché sont de petits souvenirs ou des objets d’artisanat.
Au coucher du soleil, nous rejoignons déjà le terminal des départs. Nous attendrons jusqu’à minuit notre vol dans le minuscule hall de l’aéroport international de Doha. Dans quelques heures nous atterrirons à Nice où nous devons prendre un train pour Montpellier vers 10 heures du matin. Impossible de trouver le sommeil dans ces sièges trop petits. Les italiens descendant à Milan sont bien trop bruyants et les hôtesses font des allers-retour incessants dans les allées pour servir repas, collation, apéritifs ou pour nettoyer et ramasser plateaux, verres et détritus. Il fait tantôt chaud, tantôt froid, la climatisation s’arrête puis redémarre et les lumières s’éteignent où se rallument au gré des heures et des repas…
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Escale à Doha
Nous sommes arrivés en escale à Doha vers midi. Sur les conseils d’une hôtesse d’accueil de l’aéroport nous partons passer l’après-midi au Souq Wagif. Première erreur, due à notre méconnaissance des us et coutumes de ce pays, Elsa se voit refuser la place à l’avant du taxi. Le contraste avec la Malaisie est assez saisissant. Doha semble être la ville parfaite, un patchwork impeccable où rien ne dépasse. Trottoirs, rues, bâtiments sont étincelants, propres et tellement neufs. Au loin, derrière la mer, après ce qu’ils appellent la presqu’île, le quartier des affaires et ses buildings allongés aux formes futuristes. La vielle ville, aux couleurs de sable, est à peine visible depuis le front de mer.
Au Souk Wagif, les gamins s’émerveillent devant Charlie Chaplin pendant que d’autres applaudissent les animaux du cirque. Des hommes vêtus de blanc et portant le ghahfeyah défilent, comme dans un musée, accompagnés de femmes voilées, vêtues d’une abbaya, longue tenue noire à manche longue. Assis sur une terrasse, en train de déguster un tajine, voilà que passent devant nous deux dromadaires, peut être ceux du cirque…
Dans les allées étroites du souk les vendeurs nous accostent pour nous attirer dans leur échoppe. Nous ne sommes pas les seuls, visiblement, tous les touristes en transit à Doha sont envoyés ici. L’endroit n’a rien d’authentique, il n’est qu’une version revisitée d’un souk traditionnel. La plupart des objets vendus sur le marché sont de petits souvenirs ou des objets d’artisanat.
Au coucher du soleil, nous rejoignons déjà le terminal des départs. Nous attendrons jusqu’à minuit notre vol dans le minuscule hall de l’aéroport international de Doha. Dans quelques heures nous atterrirons à Nice où nous devons prendre un train pour Montpellier vers 10 heures du matin. Impossible de trouver le sommeil dans ces sièges trop petits. Les italiens descendant à Milan sont bien trop bruyants et les hôtesses font des allers-retour incessants dans les allées pour servir repas, collation, apéritifs ou pour nettoyer et ramasser plateaux, verres et détritus. Il fait tantôt chaud, tantôt froid, la climatisation s’arrête puis redémarre et les lumières s’éteignent où se rallument au gré des heures et des repas…